La consultation

Déroulement d’une séance
  • A votre arrivée, la séance commence par un entretien au cours duquel vos praticiens pourront cibler au mieux la raison de votre consultation et de l’ensemble de vos troubles à l’instant présent par le biais d’une anamnèse ou recueil de données, de l’observation clinique de la douleur, de l’observation cutanée des zones réflexes.

Ces informations nous permettront d’établir
votre plan thérapeutique spécifique et entièrement adapté à la situation du moment.

  • Ensuite vient le temps du soin à proprement parler. Nous sélectionnerons les techniques de stimulations (manuelles, instrumentales, fréquentiel, thermique, graines) les mieux adaptées et ainsi que les zones réflexes des microsystèmes retenus (selon vos préférences, possibilités et avantages thérapeutiques) pour construire votre plan de séance.

Le soin en lui-même se déroule en position allongée voire assise selon les cas.
Sa durée varie entre 30 minutes et une heure.

  • En fin de consultation, nous ferons un retour sur la séance et ses effets. Nous vous enseignerons, si cela est pertinent, des gestes d’auto-stimulation notamment par l’utilisation des graines de stimulation posées pendant le soin afin de prolonger les effets de la séance une fois revenu chez vous.

 Ces gestes enseignés vous permettent en quelque sorte,

de prendre conscience de votre état et surtout de votre évolution.

Le nombre de séances peut varier en fonction de votre attente mais aussi en fonction de l’ancienneté du trouble. Une seule séance peut suffire sur un problème récent.

Quelques points importants :

Le praticien Réflexothérapeute s’informera toujours au préalable que son bénéficiaire a bien été supervisé ou orienté vers des professionnels de santé pour écarter tout trouble pathologique ou traumatique.
La réflexothérapie est complémentaire de la médecine conventionnelle et ne saurait se substituer à un avis et des traitements médicaux, ni un suivi psychologique.
Le Praticien Réflexothérapeute est tenu au « secret professionnel » de sorte que les informations enregistrées par lui ne pourront être divulguées, y compris à la famille ou à des tiers (Article 226-13 et art. 226-14 du Code Pénal).